Selon l’IRU, world road transport organisation, 30% des professionnels de la route prendront leur retraite d’ici 2026, avec un taux de remplacement des jeunes de 4 à 7 fois inférieur (IRU World Road Transport Organisation).
Le résultat présente une estimation de 2 millions de postes à pourvoir en 2026 en Europe !
On en a parlé précédemment. Cette tension au niveau du recrutement de nouveaux conducteurs ira de pair avec le développement de nouvelles industries et services liées au vieillissement de la population.
Mais revenons à nos considérations RH. Le vrai sujet est celui de l’attractivité de nos métiers. Et face à une génération Z et Alpha (nous ouvrons avec les nouveaux nés 2025, la génération Beta) qui a besoin de sens, d’engagement et de liberté. Nos métiers ont une vraie carte à jouer mais cela veut dire, nous adapter à de nouveaux comportements.
Nous devrons accepter d’avoir des conducteurs demain qui viendront pour quelques mois ou mieux quelques années, avant de partit mener un autre projet, et de revenir à nous ou à d’autres.
Et puis notre principal défi sera bel et bien de féminiser nos métiers. Seules 4% de conducteurs de PL en Europe sont des conductrices alors, quand on est un métier en tension comme le nôtre, travailler le “gap gender” devrait être une priorité partagée.
- Comment créer de la désirabilité de nos métiers vis-à-vis des Femmes ?
- Quels atouts offrons nous ?
- Comment mieux en parler ?
- Et surtout quels plafonds de verre devons nous briser collectivement ?
Notre newsletter de mars sera dédiée aux Femmes dans le transport et ouvrira des pistes de réflexion que nous aurons plaisir à partager avec vous.
La gestion de vos conducteurs devient problématique ?
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